Sitavirus Pandémie.

13 août 2010

Comité des Nations Unies: la paille et la poutre…

Les experts du CERD (Comité des Nations Unies pour l’élimination de la discrimination raciale) ont dénoncé une recrudescence des actes racistes en France.

Les experts bisounours qui forment  le CERD  / Comité des Nations Unies …
Noureddine AMIR /  Algeria 
Alexei S. AVTONOMOV /
  Russian Federation
José Francisco CALI TZAY (Vice-Chairperson) /  Guatemala
Anastasia CRICKLEY /  Ireland 
Fatimata-Binta Victoria DAH (Vice-Chairperson)  Burkina Faso
Ion DIACONU (Rapporteur)  Romania 
Kokou Mawuena Ika Kana (Dieudonnè) EWOMSAN /  Togo
Régis de GOUTTES /  France
HUANG Yong’an /  China 
Anwar KEMAL (Chairperson) /  Pakistan 
Dilip LAHIRI /  India 
Gün KUT /  Turkey 
José Augusto LINDGREN ALVES /  Brazil
Pastor Elias MURILLO MARTINEZ  /   Colombia 
Chris Maina PETER /  Tanzania 
Pierre-Richard PROSPER (Vice-Chairperson)  /  United States of America 
Waliakoye SAIDOU /  Niger 
Patrick THORNBERRY /  United Kingdom
Source : http://www2.ohchr.org/english/bodies/cerd/members.htm
Contact
 
La plupart de ces « experts » ferait mieux d’aller observer, de plus près,  ce qui se passe dans leur pays d’origine avant de pointer du doigt la France. Merci la crédibilité !
 
 
 
En plus ; ils nous coûtent cher …
« La France est actuellement le cinquième contributeur aux différents budgets de l’ONU : budget ordinaire, opérations de maintien de la paix et tribunaux internationaux (16). En 2006, elle a contribué pour 502 millions d’euros au titre des contributions obligatoires. Le budget ordinaire ne représente que 101 millions d’euros en 2007, soit une quote-part de 6,30% – alors qu’elle était auparavant de 6,03%. La France est le cinquième contributeur au budget ordinaire, après les Etats-Unis (22%), le Japon (16,62%), l’Allemagne (8,58%) et le Royaume-Uni (6,64%). La (15) Maurice Bertrand, Refaire l’ONU! Un programme pour la paix, La France s’efforce de régler sa contribution en totalité en début d’année, car l’ONU connaît depuis longtemps une crise financière, aggravée par les retards, parfois délibérés, dans le recouvrement des cotisations. En ce qui concerne le budget des opérations de maintien de la paix, la contribution française représente presque le triple de celle qu’elle apporte au budget ordinaire, soit 270 millions d’euros en 2006. Le barème des quotes-parts est différent de celui du budget ordinaire, pour tenir compte notamment du statut de membre permanent du Conseil de sécurité, et la contribution française est de 7,4714% en 2006. Le document du ministère des Affaires étrangères souligne que «le coût des opérations de maintien de la paix a augmenté très sensiblement à partir de 2004, en raison de la création de sept nouvelles missions (Liberia, Côte d’Ivoire, Haïti, Soudan, Timor oriental et récemment Darfour et Tchad / Centre-Afrique) et du renforcement de la MONUC». A cela s’ajoute la contribution au budget des tribunaux internationaux (tribunaux pénaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et pour le Rwanda) qui est établie pour moitié sur la base du barème du budget ordinaire et pour moitié sur la base du barème en vigueur pour les opérations de maintien de la paix, c’est-à-dire à environ 6,7%. En 2007, cette contribution s’élève à 15,5 millions d’euros environ. La participation financière de la France aux budgets des Nations Unies reflète sa situation privilégiée de membre permanent du Conseil de sécurité »
 
« La première s’appuie sur un statut d’exception ou ce qu’on appelle souvent l’«exception française», laquelle nous semble en définitive souvent injuste, inefficace et insoutenable à long terme. La seconde tentation est celle qui magnifie la vocation de la France à l’universel et au dialogue des cultures et des civilisations. Cette voie, même si elle peut paraître utopique, est en réalité plus prometteuse et nous semble bien plus satisfaisante »
Source : http://www.afri-ct.org/IMG/pdf/21_Tavernier_ONU.pdf
              
Un xénophobe parle d’immigration. Ça décoiffe !         
 
 

15 Mai 2010

l'immigration (légale) est quatre fois plus importante que l'accroissement naturel des citoyens européens

 

« Considérons le cas français, l’un des pays les plus concernés par les flux migratoires extraeuropéens. Nous disposons de chiffres de l’INSEE pour l’année 2001. Officiellement, 9 % de la population de la France métropolitaine (sans les territoires d’Outre-mer donc) est originaire du continent africain et d’Eurasie (Turquie). A eux seuls, ces 9 % de la population de la France métropolitaine assurent 16 % des naissances en France (qui donnent accès à la nationalité française), soit 110 000 naissances. Une projection pour 2030 ouvre sur la perspective suivante : dans 25 ans, la France compterait 10 millions de résidants légaux d’origine extra-européenne, ce qui représenterait 15 % de la population (on serait donc passé de 9 % à 15 %) et 30 % des naissances. Autrement dit, au tiers de ce siècle, un tiers de la « future France » serait déjà d’origine extra-européenne. Dans ces conditions, il paraît assuré qu’à la fin du siècle, la population de France serait très majoritairement de souche extraeuropéenne, les derniers « Gaulois » étant en train de mourir. »
 
« L’Union européenne ne sera une réalité de puissance qu’à la condition (nécessaire mais non suffisante) qu’elle ait une cohérence identitaire. Mon propos vise à montrer que l’immigration extra-européenne hypothèque sérieusement cette possibilité d’identité commune et ouvre sur la perspective d’une disparition, dans ce siècle, du substrat non seulement ethnique mais aussi culturel de l’Europe. »
  
 » l’immigration (légale) est quatre fois plus importante que l’accroissement naturel des citoyens européens (qui évidemment ne sont pas uniquement des Européens de souche). Si l’immigration progresse 4 fois plus vite que l’accroissement naturel (lequel, faut-il encore le répéter, comptabilise la natalité des immigrés arrivés les années précédentes), on peut alors en conclure aisément que la population européenne est en passe d’être remplacée, sur un temps historique très court (un siècle) par des populations non européennes. Autrement dit, l’Europe en tant que réalité ethnique est en voie de disparition »
 
« Ma conclusion est donc radicale ou sombre. Ou bien l’Union européenne lance dans les prochaines années à venir une sorte de « Plan Marshall » de relance de la natalité et de
réduction de l’immigration extra-européenne (politique d’immigration sélective, abolition du regroupement familial, encouragement au retour par limitation drastique des prestations sociales…) ou bien la civilisation européenne aura disparu à la sortie de ce siècle. « 
 
Source :  L’immigration extra-européenne, un défi majeur pour l’Union européenne / Par Aymeric Chauprade
http://documents.dijonscope.com/pdf/articles/identite/Chauprade_immigration.pdf